Cannes, scène 1, plan 1 !
Bin voilà ! Un rêve d'adolescent ! Dix jours de boulot sur tout le festival de Cannes. Pendant dix jours, j'ai bouffé du film, j'ai goûté à des ambiances, j'ai trainé, j'ai réfléchi.
Alors, bien sûr, voilà les fameuses marches, que j'ai gravies par deux fois, pour voir deux films très différents : Red road, un film écossais de Andréa Arnold (très beau film sur le deuil, et sur le pardon) et Le labyrinthe de Pan de Guillermo del Toro (un bijou fantastique, avec Sergio Lopèz excellent et méconnaissable, qui reprend des thématiques de L'échine du diable, un de ses excellents précédents films).
Mais le palais, le tapis rouge, les cocktails, la palme d'or, tout ça, ce n'est que la partie immergée de l'iceberg.
Tout ça, c'est le programme des prochains posts. En attendant, soyez toujours aussi sages.